Qui sommes nous?
Les bénévoles
- Dihia BELABBAS
Née le 19.08.90 Etudiante en seconde année à l’UFR de médecine Paris 7 Denis Diderot. Expériences médicales :
Autres expériences :
Mes motivations :
Je souhaite mettre en place ce projet humanitaire pour différentes raisons aussi importantes les unes que les autres à mes yeux: venir en aide à des personnes en ayant besoin, aller à la rencontre de ces familles, entrer dans leur quotidien, apprendre à connaitre leur culture, et mode de vie. La Roumanie fait partie de l'Union Européenne, malgré cela, c'est un pays méconnu, ou sur lequel nous avons de nombreux préjugés. Il me semble donc intéressant de le découvrir par moi-même, et de pouvoir partager avec les autres le fruit de cette expérience. |
- Laura DELLAC
Née le 20 Janvier 1989 Etudiante en 1e année de licence-journalisme à l’ISCPA-Institut des médias (2007-2009 : 2 ans de PCEM 1 à l’UFR de médecine Paris 7 Denis Diderot) Expériences journalistiques :
Autres expériences :
Mes motivations : Si je souhaite participer et m’investir dans ce projet humanitaire c’est avant tout d’un point de vue humain. La rencontre de différentes cultures, de différents modes de vie et de philosophies. Cela couplé à un peu d’humanitaire, ne peut finalement que nous construire. L’idée de faire un reportage sur ce projet me semble être nécessaire afin de pouvoir montrer la réalité des choses et le travail effectué sur place. Le partager et le diffuser avec des personnes intéressées. |
- Camille FOURNIER
Née le 15.12.1989. Etudiante en seconde année à l’UFR de médecine Paris 7 Denis Diderot. Expériences médicales :
Autres expériences :
Mes motivations :
J’ai rencontré Francine , Bouclette, Dr. Fier et les enfants de Brad en Juin 2009. Pendant un mois, j’ai pu les écouter, les observer, apprendre sur l’histoire de la Roumanie, découvrir les roumains, la complexité des histoires familiales, le désemparement face au chômage et à la maladie, à la corruption, à la ségrégation, mais aussi la chaleur, la générosité et la curiosité de ces familles. Je suis, comme beaucoup de personnes, attirée par la solidarité internationale depuis l’enfance pour des raisons variées et (heureusement) évoluant. Aujourd’hui, je souhaite réaliser ce projet de solidarité car il ne créera aucune dépendance des familles vis-à-vis d’Ebisol malgré l’utilité de l’aide apportée. Je pense aussi améliorer ma pratique du roumain pendant l’année ; ainsi, une fois de retour à Brad, je pourrais discuter directement avec les enfants, femmes et hommes rencontrés l’année dernière, appréhender leur personnalité et histoires par moi-même, leur montrer la mienne, sans le biais du traducteur. Profiter de nos différents modes de réflexion pour trouver ensemble d’autres idées constructives qui ne nécessiteraient peut être pas d’aide de solidarité internationale ou que Dihia, Laura et moi pourrions partager avec les étudiants qui peut être reprendront ce projet. |
Nos motivations
A partir du diabète, perçu et vécu comme un problème par les malades, nous voulons essayer d’instiguer une dynamique auprès des personnes aptes à améliorer la prise en charge et la prévention de cette maladie. Nous espérons ainsi éveiller l’intérêt des professionnels ayant les capacités d’agir sur la qualité de la prévention et leur faire prendre conscience de leur importance auprès de la population.
Loin de penser pouvoir « sauver le monde » par notre action, nous savons que l’aide que nous apporterons correspond à une demande réelle de la population, et qu’en y répondant, nous pourrons concrètement améliorer la qualité de vie de quelques familles et enfants (en permettant notamment le remplacement des fenêtres de l’orphelinat).
L’opportunité que nous avons de jouer avec les enfants, rencontrer les familles et échanger avec eux - même à travers une interprète – quel que soit le sujet, politique, vie quotidienne (cuisine !), histoire personnelle ou Histoire roumaine, nous permettra d’apprendre et comprendre leur culture, de l’appréhender à travers leur regard.
Découvrir la culture de ce pays nous est important, nous considérons que pour avoir le sentiment d’appartenir à la communauté qu’est l’Europe, il faut en connaître les différents peuples. Par notre venue, nous ne voulons pas uniformiser les cultures en essayant d’appliquer là-bas nos idéaux de vie, mais bien comprendre et respecter les leurs, afin de pouvoir à notre retour faire valoir l’intérêt de la complexité des mœurs et des différences interculturelles.
Les toits de Cluj-Napoca – Juin 2009 CF
EBISOL
Ebisol, association régie par la loi de 1901, signigie Etudiants Bichat-Lariboisière Solidarité.
Il s’agit de l’association de solidarité de la faculté de médecine Paris VII visant à monter et pérenniser diverses actions de solidarité, réparties en deux branches.
La branche France
Elle agit sur divers plans autant médicaux que sociaux, ses actions tout au long de l’année sont :
- Téléthon
- Sidaction
- Goûter des sans-abris et Restos du cœur
- Langue des Signes Françaises
- PSC1
- Solidarité séniors
- L’hôpital des nounours
- Journée mondiale contre le Palu
La branche Monde
Elle soutient les étudiants volontaires pour organiser des voyages de solidarité internationale.
Pour l’été 2010, des projets sont conduits :
- Au Vietnam
- En Inde
- Au Burkina Faso
- Au Sénégal
- Au Mali
- A Madagascar
- Au Pérou
- En Roumanie
Tous consistent à envoyer des étudiants de la faculté de médecine de Paris VII dans des dispensaires, orphelinats et monastères pour y apporter une aide de solidarité internationale.
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